Paulo Coelho (1947-)

Veronika décide de mourir


  • Chacun connaît la dimension de sa propre souffrance et sait si sa vie est vide de sens. (p.30)

  • ..bien des gens commentent les horreurs qui frappent les autres comme s'ils étaient très soucieux de les aider, alors qu'en réalité ils se complaisent à la souffrance d'autrui, parce qu'elle leur permet de croire qu'ils sont heureux et que la vie a été généreuse avec eux. (p.48)

  • Peut-on imaginer un endroit où les gens font semblant d'être fou pour être libres de réaliser leurs désirs? (p.63)

  • ..dans les hôpitaux psychiatriques les malades s'habituaient à un univers totalement irréel, où tout était permis et où personne n'avait à répondre de ses actes. (p.108)

  • Cesse de penser que tu causes de l'embarras, que tu déranges ton prochain! Si cela ne leur convient pas, les gens n'ont qu'a se plaindre. Et s'ils n'ont pas le courage de se plaindre, c'est leur problème. (p.140)

  • Vous avez le choix : dominer votre esprit ou être dominés par lui. (p.143)

  • Nous avons le droit de faire toutes sortes d'erreur dans la vie, conclut l'avocat. Sauf une : celle qui nous détruit. (p.180)

    (Editions Anne Carrière. Dans le livre de poche. traduit du portugais par Françoise Marchand-Sauvagnargues)


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dernière mise à jour : 8/09/2024 version: 14/06/2003