Les eaux mêlées (prix Goncourt 1955)
- J'aimerais qu'ils n'oublient pas complètement leurs origines.
(p.20)
- Privé de son enfance, un homme est toujours malheureux
(p.20)
- Je ne leurs demande qu'une chose : qu'ils conservent au moins en eux une trace
de moi et des miens, qu'ils ne se convertissent pas au catholicisme.
(p.21-22)
- La souffrance endurée est endurée. Irréparable !
(p.25)
- Si on devient esclave de son travail, à quoi ça sert de vivre ?
(p.153)
- ...Des fleurs ? il n'y avait même pas songé, d'abord parce que les fleurs se
fanent tout de suite et qu'il n'aimait que les cadeaux durables ; ensuite et
surtout, parce que ça ne se faisait pas dans son pays.
(p.185)
- Rendre justice à ses ennemis, essayer de comprendre leur âme, qu'elle drôle d'idée !
et il ne pouvait pas s'en défendre...Un jour enfin il s'avisa, et une soudaine
fierté le remplit, que tout simplement il raisonnait en français.
(p.314)
- On lui rendait toujours service, à papa ! Même quand c'était lui qui rendait le
service.
(p.410)
- Est-ce qu'on est vraiment un homme quand aucune aspiration ne vous élève au-dessus
de la médiocrité quotidienne ?
(p.615)
- Quand on a été comme tout le monde, il n'est pas très commode de devenir comme
personne.
(p.660)
(Edition Albin Michel 1955. collection livre de poche)
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Les fleurs du soir
- Personne n'est totalement futile. Personne ne vit seulement à la surface de soi.
(p.25)
- Le vrai problème, ce n'est pas de remplir le temps, mais d'en manquer pour la tâche
à laquelle on se consacre.
(p.39)
- L'enfer, ce n'est jamais qu'un paradis non partagé.
(p.42)
- Souffrir d'amour à mon âge, quel bonheur et quel privilège!... Je souffre donc je vis.
(280)
(Editions Albin Michel 1985. Dans le livre de poche)
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Palmares Prix Goncourt
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dernière mise à jour : 11/11/2019
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version: YF-01/11/2001
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