- L'informatique n'est plus une histoire d'ordinateur. C'est un mode de vie.
(p.13)
- La conception et la fonction de l'interface sont essentielles.
(p.116)
- Voici le secret de la conception d'une interface : la faire disparaître.
(p.121)
- On considère généralement la redondance, comme un mauvais symptôme, l'indice d'une
verbosité inutile ou le manque d'attention.
...
..Il n'y a pas d'idéal en matière de conception d'interface.
(p.125)
- J'ai peu de respect pour les tests et l'évaluation dans la recherche en interface.
Mon argument, peut-être arrogant, est que, s'il est nécessaire de multiplier
les tests pour mesurer le progrès apporté par une découverte, pour trouver ce qui
fait la petite différence, cela veut dire qu'elle ne représente pas un progrès
suffisant.
(p.127/128)
...
S'il faut mesurer soigneusement pour déceler une différence, peut-être ne travaillons-nous
pas aux choses qui ont vraiment de l'importance.
(p.128)
- Où que se trouve l'ordinateur, si l'on veut que l'interface soit efficace, il faut
associer la richesse sensorielle et l'intelligence de la machine.
(p.129)
- Répétons-le, la redondance a du bon; L'utilisation de canaux parallèles (le geste,le regard,
et la parole) est l'essence de la communication humaine.
(p.181)
- L'important est de se dire, que plus on réduit l'échelle, plus la voie prend de l'importance.
(p.185)
- ...l'information sur l'information a peut-être une plus grande valeur que l'information
elle-même.
(p.193)
- L'une des grandes séductions du courrier électronique, c'est qu'il ne crée pas d'interruption
comme le téléphone.
(p.208)
- Nous sommes constamment interrompus où obligés d'être ponctuels pour des choses
qui ne le méritent franchement pas.
(p.209)
- La véritable valeur d'un réseau réside moins dans l'information qu'il transporte que dans
la communauté qu'il forme.
(p.226)
- La parenté traditionnelle entre les mathématiques et la musique se révèle de manière
frappante dans l'informatique contemporaine et dans la communauté des mordus de
l'informatique.
(p.273)
(Edition Robert Laffont-1995. Traduit de l'américain par Michèle Garène. collection Pocket)
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